Un regard en arrière un an après les expulsions
J’ai écrit ce texte au printemps 2019. Il était en anglais, pour un public anglophone, parce qu’il n’y avait presque pas d’information disponible, et j’étais fatiguée de répondre toujours cette même question : « Mais merde, qu’est-ce qu’il s’est passé ? ». C’était aussi douloureux d’en parler, il me semblait plus simple d’avoir quelque chose d’écrit et partageable.
